Festival du film d'aventure

Ce matin j'ai réalisé un de mes vieux rêves : monter à la place de devant, dans le bus !
Je ne suis pas allée jusqu'à parler au micro, mais ça m'a pas mal démangé !
J'ai moins fait la maligne lorsque je me suis rendue compte que l'on avait l'impression d'être dans une serre !
C'était ma première sortie avec les 5°Jasmin.

Nous sommes allés au théâtre de Champ-Fleuri, à Saint-Denis, pour assister au Festival du film d'aventure.

Le premier film racontait la passion de Marco Siffredi pour le snowboard.
Le jeune homme a descendu les pentes les plus folles, dont l'Everest, avant que sa trace ne se perde à 8600 mètres.

Quant au deuxième film, les protagonistes sont deux Québécois de mon âge à peu près, qui, en couple, ont concrétisé leur projet "Asiemut" : ils ont parcouru 8000 kilomètres à travers la Mongolie, le Tibet, le Népal, et jusqu'à l'Inde avec 40 kilos de bagages.
Ils étaient présents dans la salle et les élèves ont pu leur poser des questions, jeu auquel ils se sont prêtés avec un enthousiasme qui m'a ravie.

Voici le lien pour aller vers leur site :

http://www.asiemut.com/content/view/17/45/

Comments

[Clochette]

J'oublie toujours de vérifier, mais c'est très probable, et ça me gêne à chaque fois que je l'écris, de faire cet accord banal du participe passé alors que "compte" complète "rendu".
Parfait tu m'as ôté un doute.
Ce qui est bien c'est que quand on laisse à la faculté de douter toute la place qu'elle mérite, toute sa vie on avance, on fossilise pas.

[nico à lunettes!]

néhéhé !
attention, le nico à lunettes va frapper :
il pense avoir trouvé une faute de français.
Ouais, bon, il est pas super sûr de lui mais ça le démange trop…
Alors voilà mademoiselle : on ne dit pas "lorsque je me suis rendue compte que" ; on dit "lorsque je me suis rendu compte que".
Non ?